Publié dans Economie

BNI Madagascar - La société « STCV » assure la gestion des déchets du siège

Publié le lundi, 09 décembre 2024
Gaëlle Randriamanana-Pless, fondatrice de la STCV, et Alexandre Mey, directeur général de BNI Madagascar, lors de la signature d'un partenariat pour une gestion éco-responsable des déchets Gaëlle Randriamanana-Pless, fondatrice de la STCV, et Alexandre Mey, directeur général de BNI Madagascar, lors de la signature d'un partenariat pour une gestion éco-responsable des déchets Crédit photo : fourni

Un modèle de collaboration durable. La gestion des déchets du siège de BNI Madagascar à Analakely est désormais confiée à la Société Tri, Comptage et Valorisation (STCV). La signature de ce partenariat a eu lieu la semaine dernière dans la capitale. Cette collaboration met l’accent sur le recyclage et la valorisation des déchets, notamment du papier, carton et plastique. « Nous sommes fiers de travailler avec BNI, une institution engagée dans des actions concrètes. En plus des impacts environnementaux, nos activités soutiennent des femmes vulnérables, contribuant ainsi à un changement social durable », a affirmé Gaëlle Randriamanana-Pless, fondatrice et directrice de la STCV.
 La société prendra en charge la collecte, le traitement et la valorisation des déchets produits par le siège de la banque. Un suivi sera mis en place pour fournir des rapports réguliers. Ceux-ci permettront à la BNI de mesurer ses progrès en matière de réduction de son empreinte écologique. Alexandre Mey, directeur général de BNI Madagascar, a souligné l’importance de cette initiative en déclarant : « Malgré nos efforts pour limiter l’utilisation du papier, nous en produisons encore beaucoup. Ce partenariat nous permet de transformer ces déchets en ressources, en phase avec nos objectifs environnementaux. Cela illustre également notre vision : transformer les défis environnementaux en opportunités d’innovation et de progrès ».
Démarche éco-responsable
Cette collaboration s’inscrit dans le cadre du programme « BNI Lovainjafy », lancé en 2023 en partenariat avec le ministère de l’Environnement et du Développement durable. Ce programme soutient les entreprises à fort impact social et environnemental. Il offre des subventions et des crédits à taux zéro aux lauréats, comme la STCV. BNI Madagascar multiplie les initiatives pour réduire son impact environnemental. En plus de ce partenariat, la banque a déjà mis en œuvre le recyclage de ses équipements informatiques, la digitalisation de son processus pour limiter l’usage du papier, ainsi que des campagnes de reboisement avec divers partenaires. Cette alliance entre les deux parties reflète une démarche innovante et responsable. Elle prouve qu’une synergie entre institutions et acteurs locaux peut allier performance économique, impact social et respect de l’environnement.
Carinah Mamilalaina

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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